80 lavoir(s) envoyé(s) par Henri Lieutier

Lavoir 2, à l'arrière du Bât A (casernement) près des anciennes latrines, fort de Figuerolles à Le Rove. Il est totalement ruiné et semble avoir été intentionnellement démoli (comme le lavoir 1) pour récupérer les tuyaux d'alimentation en eau (qui était probablement en plomb) et les robinets.

Av du Verdalaï à Les Michels, commune de Peynier.

Ce monumental lavoir construit en 1898 est en contre bas de la Place Aimé Gazel, 13290 Aix-Les Milles (à noter : le village des Milles fait partie de la commune d'Aix en Pce) Edifice en parfait état, son accès se fait par une grille toujours fermée.

Fontaine-lavoir des "Quatre Canons" place Léon Depeyres. La fontaine (ph 1 et 3) est flanquée à gauche d'un très grand bassin pour travail à genou et à droite d'un petit bassin pour travail debout. Photo 2 le grand bassin, photo 4 le petit bassin.

Situé av Lacanau, dans le quartier "Pas des Lanciers"

Impasse Daniel Audry à Château Gombert 13013 Marseille. C'est très probablement le dernier lavoir public de Marseille qui a pu en compter presque une quarantaine. L'édifice a été restauré et il est désormais protégé par des grilles, rarement ouvertes.

Mini musée de la Savonnerie du Midi 72 rue Augustin Roux M15 Ph 1 différents types de savons et autres produits anciens pour lessive, à d. un battoir en bois avec pub' Ph 2 reproduction d'une CPA montrant un lavoir de Marseille aux heures d'affluence. Pas d'adresse, mais sûrement dans quartier du Panier (M 2). N'existe plus. Ph 3, planche à laver en tôle avec encadrement en bois Ph 4, planche à laver entièrement en bois.

Vestiges insérés dans un mur de ce qui fut la fontaine-lavoir du Barquiou, rue Guintrand 13002 Marseille

Situé sur le site archéologique "Le Tholon", s'atteint par l'av du Docteur Fleming. Ce lavoir est complètement noyé par sa propre eau. Explications : il est abondamment alimenté en eau par deux réservoirs (1er plan ph 1) d'époque romaine eux mêmes remplis par diverses sources captées. L'évacuation devrait se faire par une rigole rejoignant l'étang de Berre qqs mètres plus loin, or cette rigole (ph 4) est encombrée par une masse imposante de roseaux poussés spontanément > écoulement difficile > rétention d'eau > inondation. Qqs coups de pioches suffiraient à rétablir la situation, mais bon...

Entrée du village ancien par la rue Pergine (D8d) le lavoir se trouve sous l'arcade de droite du bâtiment (photo 1), arcade de gauche expo de reproductions de santons anciens et spectaculaires (environ 1 m de haut !) trouvés au monastère ruiné de ND des Anges situé sur la commune. C'était le lavoir du quartier des Rampauds, il a été retrouvé par hasard, lors de l'évacuation d'un amoncellement ancien de décombres. Il était entièrement démonté. Ne pouvant être reconstitué "in situ" (l'urbanisme a changé) il a été transporté à l'entrée du village où il est désormais exposé. Lavoir de 1905, reconstitué et restauré en 2016

Fontaine et lavoir de la Tour (quartier de la Tour), 438 chemin de la Mègre. L'ensemble a été construit en 1829, le lavoir a été restauré en 2012. La fontaine (photo 4) est restée en l'état.

Parc de la Poudrerie, 1510 Rte de St Chamas à Miramas le Vieux. Ce lavoir se trouve à proximité immédiate de la très belle chapelle romane St Vincent dans le parc de la poudrerie royale de St Chamas. La poudrerie en activité de 1690 à 1974 était située à St Chamas, le parc qui en dépendait, classé "domaine militaire" quand elle était en activité, se trouve sur le territoire de la commune de Miramas et plus particulièrement de Miramas le Vieux

Fontaine et Lavoir Louis Cabasse, place du même nom à Miramas le Vieux.

Chemin des Barielles (D 10) à Miramas

Lavoir St Suspi, il est en bordure du plan d'eau éponyme d'un côté et du chemin du Couvent de l'autre.

Plein centre du village, sur une placette en bordure de l'avenue de Montmajour. Le lavoir partage l'espace avec la "Statue du Cheval de Trait" (photo 1, le lavoir est à l'arrière). La statue est une oeuvre contemporaine de Camille Soccorsi, taillée dans un bloc de calcaire venant d'Oppède (dans le Lubéron en 84). Statue monolithe.

Place du lavoir, dans la rue de la Fontaine. Le bassin a été transformé en massif floral, toutefois, faute d'entretien les mauvaises herbes ont remplacé les plantes cultivées.

A l'entrée ouest du village par la D17. Construit en 1879 avec l'aide d'une subvention du département, voir la plaque apposée dans l'édifice (photo 4)

Rue de Fontvieille. Entièrement restauré.

Le grand lavoir Ste Anne, rive de l'Huveaune en contre bas de la rue Ste Anne, parallèle au cours d'eau, était alimenté en eau au moyen de deux réservoirs qui se remplissaient par une dérivation installée sur l'Huveaune. En photo 3 et 4, au fond du lavoir, les deux "regards" qui permettaient l'accès à ces réservoirs pour nettoyage et entretien.

Le petit lavoir Ste Anne, rive de l'Huveaune en contre bas de la rue Ste Anne. Perpendiculaire au cours d'eau, était alimenté en eau par une source au débit abondant, voir photo 4