2902 lavoir(s) envoyé(s) par Anonymes

Faubourg St-Martin, carrefour rue Badran / rue des Moulins, sur la Chalouette.

Faubourg St-Martin, rue de la Treille. Il ne reste plus que la pierre, sur la Chalouette.

Faubourg St-Martin, rue de la Treille. Lavoir privé muré, sur la Chalouette.

Faubourg St-Martin. Lavoir privé sur la Louette, rue de Chauffour.

Faubourg St-Martin. Lavoir privé sur la Louette, rue de Chauffour.

Faubourg St-Martin - C'est le lavoir St-Martin qui se trouve dans la sente, rue de la Porte Brûlée.

Construit en 1880 sur les bords de la Juine, chemin de la prairie, carrefour rue des Ponts / rue des Moulins.

Lavoir privé en ruine, impasse du Château de Jeurre au niveau de la rue Traversière.

Rue du Moulin (lavoir privé).

260 m à l'Ouest de l'Église, carrefour de la rue du Mesnil / rue de Lendreville / rue de l'Église, sur la Juine.

Construit en 1865 au carrefour rue de Saulx / rue Emile Chartier dans le hameau de Villiers.

Lavoir privé de l'hôtel aux Petits Ponts, avenue Darblay, sur la rivière Essonne juste avant les grands moulins.

En périphérie Nord du bourg, au Moulin d'Ormoy, rue du Moulin (vers Villoison).

9 rue Jean Jaurès. Fermé en 1971, il a été restauré en halte garderie en 1998.

Lieu dit Montauger sur la D153, en bas de la côte.

Construit en 1850 au n° 18 Boulevard Aguado.

160 m à l'Ouest de l'Église, carrefour rue de la Fontaine / rue du Tertre / rue du Val.

Lavoir en ogive couvert de pierres plates.

Centre ville en contrebas de l'Église.

150 m au Sud de l'Église, carrefour rue du Lavoir / rue des Ouches / rue des Petits Buissons / rue de Derrière la Ville. En 1864, le toit de paille a été remplacé par une couverture de tuile, le dallage et les parements en pierre de taille ont complété ces travaux de restauration. En 1999, réfection de la toiture et rejointoiement intérieur et extérieur des murs.

En périphérie Ouest, rue de la Fosse Dionne, 70 m au Sud-Ouest du carrefour avec la rue du Général Campenon (D43). Cette source, au débit varié mais perpétuel, était qualifiée de "divine" (fons divona d'ou Dionne). La tradition prétendait que le bassin était sans fond. Telle légende en faisait une entrée de l'enfer, telle autre affirmait qu'un serpent au regard meurtrier (le basilic) y faisait son séjour avant que l'évêque Saint Jean de Réôme n'en débarassât l'endroit. C'est en 1758 que Louis d'Eon, le grand-père du fameux chevalier, fit aménager la source en lavoir, avec sa toiture semi-circulaire et sa double enceinte.