62 lavoir(s) envoyé(s) par Pierre Poschadel

Le lavoir se situe au bout d'une courte impasse partant de la rue de l'Église et contournant l'église par le nord. La charpente commence à s'effronder, et une partie des tuiles est déjà tombée.

Le lavoir de la rue d'Aval-Eau à Asnières-sur-Oise, près de la mairie. Tout comme le lavoir de la rue des Auges, il est alimenté par la fontaine du Croq (capteur de fontaine en haut de la rue du Croq). C'est l'un des trois lavoirs du centre du village.

Le lavoir de la rue de Touteville à Asnières-sur-Oise, aujourd'hui à sec en attendant la réparation de son alimentation par la source des Gourdeaux. C'est l'un des trois lavoirs du centre du village.

Situé à la lisière de la forêt d'Halatte, chemin du Lavoir, au nord de la salle des fêtes. Lavoir bâti en 1842 et utilisé jusqu'en 1862. A remarquer le petit bassin supplémentaire à l'extérieur.

Situé à l'est du village, rue des Bourbottes, au bout d'une sente, signalé par un panneau.

Au premier plan, la fontaine Saint-Martin (à 1,5 m en dessous du niveau de la rue) qui alimente le lavoir que vous avez déjà sur le site, visible également. Veuillez s.v.p. corriger l'adresse : c'est dans la rue de la fontaine St-Martin et non du pont St-Martin (les deux rues existent à Borest !).

Place Viat-Bierry. Le lavoir, transformé en abribus, a été donné à la commune par M. et Mme Viat en 1884, comme l'indique l'inscription gravée sur le linteau. Un grand abreuvoir se situait à côté.

Lavoir de la fontaine de l'Orme, au bourg de Bury, en bas de la rue Gambetta non loin de la RD 12.

Le lavoir de la Guêpière, chemin de la Voirie, près de l'Oise. Depuis la RD 922 (rue de Vauréal), prendre le chemin de la Guêpière. Le lavoir est sur le terrain municipal aux bords de l'Oise au bout du chemin, à la gauche.

Le deuxième lavoir de Saint-Firmin, plus discret, rue d'Avilly (à mi-chemin entre l'église de Saint-Firmin et le moulin d'Avilly).

Rue de Berthenonville (RD 146), au village ancien. Le lavoir s'accompagne d'un ancien abreuvoir-pédiluve au nord, aujourd'hui à sec.

Lavoir de la fontaine des Joncs. Sur le GR 655 au nord du bois, loin du village.

Lavoir couvert sur le Thérain, en béton armé, rue des Usines, face à un nouveau lotissement.

Abreuvoir communal dit la mare Saint-Martin, chemin de la mare Saint-Martin, courte impasse en herbe partant de la rue Vieille Saint-Martin, au nord-est du vieux village. Un peu plus au sud, subsistent des vestiges du lavoir dit la mare Bicourt (au bout également d'une courte impasse en herbe, en l'occurence sans entretien et difficilement parcourable).

Le lavoir du hameau de Saint Nicolas-d'Acy, établi sur la Nonette, au bout de la rue du Gué. Commune de Courteuil.

Le lavoir du Chardonnet à Coye-la-Forêt, au bout de la rue de l'Étang. Datant de 1841, ce lavoir se situe sur un étang (l'étang du Chardonnet) alimenté par la Thève, caché par la végétation sur la photo. Le lavoir et l'étang se situant sur un terrain privé, on peut seulement les contempler depuis la rue.

Lavoir au toit en béton, établi sur le Thérain. Rue du pont, près de la gare.

Lavoir du Petit-Vin, accompagné d'une fontaine. Situé en dehors du village, au bout de la sente rurale n° 37, partant de la route de Rhus.

Rue René de Girardin, pratiquement en face du château, du côté opposé de la rue, à la limite avec le parc Jean-Jacques Rousseau.

Le deuxième lavoir de Fontaine-Chaalis, également établi sur la Nonette, mais complètement à l'abandon dans un bois privé au nord du pont de la D 126 sur la Nonette.

Rue de Beaumarais, près de la rivière Automne (mais pas sur la rivière). Lavoir donné par le chevalier de Lorière et les dames de Lorière et de Beaurain, qui se réservent le droit d'avoir le lavoir à leur usage exclusif 25 jours par an, à annoncer chaque fois 48 heures d'avance à tous les habitants. Le lavoir a été inauguré le 1 octobre 1833.

Autre lavoir à Gouvieux, à côté du moulin des Planches, sur la Nonette également. Il est accessible par la rue des Planches.

Le lavoir de Chaumont, hameau de Gouvieux, sur la rivière Nonette (D 162 - rue Corbier-Thiebaut).

Lavoir à l'ouest de l'église, près du carrefour rue de l'Église / rue du Bail.

Rue Hutellier.

Ce lavoir est situé dans le village au bout de la ruelle du lavoir (sans issue).

Deux premières photos : vues de la fontaine qui alimente le lavoir, à quelques mètres au sud, dans un local semi-enterré sous la pente. Aspect extérieur et ce que l'on aperçoit en regardant à travers de la grille : une pièce d'environ 6 m² avec une margelle maçonnée. Le plafond est en béton. Troisième photo : le lavoir.

Lavoir de Rocquemont ou de la Grande Fontaine : situé sur le chemin de la Grande Fontaine reliant le chemin Vert à la rue de Rocquemont, à proximité du stade. Datant de 1817, il avait initialement un toit de chaque côté, à gauche et à droite. Le mur au premier plan n'est pas d'origine. L'espace au milieu était ouvert, et sous les pignons des toits à gauche et à droite, se trouvait des murs avec des portes.

Lavoir sur une déviation de la Sangle (ruisseau affluent de la Nonette), rue d'Ermnonville. Le lavoir vient d'être rebâti, seul les murs sont d'origine.

Le deuxième lavoir de Montlognon, rue du Moulin, sur la Nonette.

Lavoir de la Fontaine Rouge, complètement ruiné. Situé au sud, en dehors du village, dans un bois privé. Accessible par le chemin rural dit de la Fontaine, qui part du chemin communal n° 2 à mi-chemin entre le cimetière et le début du village.

Situé rue de Visery, à l'est du village.

Le lavoir de Jouy-le-Comte, village à l'origine de l'actuelle commune de Parmain avant que le nouveau centre ne s'organise plus près de la voie ferrée. Situé au bout d'une impasse partant de la rue du maréchal Joffre, à peu de distance au nord de l'église Saint-Denis. Le lavoir est alimenté par une source (visible à gauche sur la photo de l'intérieur).

Le lavoir de Pontarmé, établi sur la Thève, près du pont de l'ancienne route nationale (D 1017). Le local à gauche du lavoir (si l'on regarde depuis le pont, d'où a été prise la photo) semble être associé au lavoir.

Le lavoir de la Fontaine Sainte-Barbe, à l'est du village, dans une rue qui s'appelle 'la Forcherie'. Ce lavoir ressemble au lavoir de la Cascade, sauf que pour ce dernier, l'un des deux toits est en appentis.

Lavoir de Saint-Gervais (nom de la paroisse de Pontpoint où il se trouve), rue Albert-Mansard. C'est le plus grand des lavoirs de la commune. Une photo montre le mécanisme permettant de vider le bassin, et une autre photo montre la source, de l'autre côté de la rue en face.

Le lavoir de la Source Saint-Pierre (du nom de l'ancienne paroisse de Pontpoint où il se trouve), rue de la Vieille-Eglise. Le lavoir est situé en-dessous du niveau de la rue : on y accède par une rampe et non par un escalier, sans doute pour permettre d'y passer avec des brouettes chargées de linge. A l'intérieur, ce qui ressemble à une cheminée est en fait la margelle de la source.

Lavoir de la Cascade, rue de la Cascade, à l'angle avec la rue Basse. Il est similaire avec le lavoir de la fontaine Sainte-Barbe.

Lavoir Saint-Paterne, du nom de l'hameau où il se trouve. C'est le seul lavoir de la commune qui n'est pas encore restauré. On le trouve au bout d'une sente entre les maisons n° 159 et n° 185, rue Saint-Paterne (ces maisons sont voisines, contrairement à ce que leurs numéros laissent supposer).

Le lavoir avec fontaine couverte de l'abbaye du Moncel, rue du Moncel à Pontpoint. Initialement, l'ensemble du lavoir aurait été couvert, et même chauffé par une cheminée. Inscrit au titre des Monuments historiques depuis 1933, il date de 1310/1330 et est donc aussi ancien que l'abbaye. Sans doute l'un des lavoirs les plus anciens qui subsistent en France. Se visite dans le cadre d'une visite guidée de l'abbaye.

Le lavoir de Fosse ou fontaine Gillet, rue du Marais, au hameau de Fosse. Il a été reconstruit en 1995.

Lavoir du Fond-Maillet, avec une couverture de tôle de 1881 et une pompe de 1938. Le bassin, envahi par la végétation, n'est plus visible. Situé dans l'unique rue en impasse du hameau.

Lavoir de Guidon, dont la charpente date de 1887. Ce lavoir est similaire au lavoir de Noël-Saint-Remy, sur la même commune. Situé au bout d'une sente au nord du hameau de Guidon, en partant de la route de Guidon.

Lavoir de Noël-Saint-Remy, de 1843, similaire à celui du hameau de Guidon, sur la même commune. Situé route de l'Eglise, près de l'arbre de la Liberté.

Lavoir de Roberval, près du château et du jeu d'arc. Il n'a jamais été couvert et souffre du manque d'entretien.

La source de l'Aunette à Rully. A vous en tant qu'experts à juger s'il s'agit bien d'un lavoir. Il se situe à env. 1 km du centre du village, à l'ouest du bourg et au sud du hameau de Chamicy de la même commune. Le coin est plutôt sec, donc les gens auraient pu se déplacer loin pour aller au lavoir faute d'alternative. Aujourd'hui, la source est devenue temporaire.

Lavoir sur la rivière de la fontaine Saint-Urbain, qui est en fait l'ancienne Nonette, détourné pour les besoins de défense de la ville au Moyen Âge. Situé dans un jardin privé, ce lavoir à l'abandon est visible depuis l'impasse Sainte-Marguerite, à priori quand les arbres sont encore nus. Les nombreux lavoirs ayant jadis existé à Senlis semblent tous avoir disparu.

Le lavoir de Villemétrie, hameau de Senlis, sur la Nonette. Il se situe près du pont, derrière l'ancien moulin.

Situé sur le chemin rural n° 27 dit de la Messe, au sud de la mairie, à mi-chemin entre le village et la déviation de la RD 14.

Au hameau de Magnitot, à l'est, près de la mare. Ce lavoir n'est pas accessible au public.

Chemin du Clos Fay. Le lavoir est établi sur un ruisseau.

Le lavoir d'en-bas, rue des Fontaines. Le lavoir d'en-haut, alimenté par la même source, est situé quelques mètres plus haut en flanc de colline.

Le lavoir d'en haut, rue des Fontaines, construit en 1829 et restauré en 1988. Il est alimenté par la même source que le lavoir d'en-bas, à proximité. En outre, un abreuvoir est situé à côté du lavoir.

Lavoir du puits au chien, rue du Haut de Senlis, à mi-distance de la rue. Unique lavoir de la commune.

Le lavoir communal de Thiers-sur-Thève, rue de Senlis. Ce lavoir est fermé par des murs des quatre côtés, et n'est éclairé que par l'ouverture du toit au-dessus du bassin. Le bassin fut alimenté par une source, aujourd'hui tarie. L'eau s'évacuait dans la Thève, directement à côté.

Rue de Puiseux, face au carrefour avec la rue des Marais.

Lavoir de Ver-sur-Launette, situé au bout d'une sente non loin du ruisseau de la Launette. Les trois ouvertures à gauche, au fond et à droite ont été murées.

Rue de Verdun.

Le lavoir Saint-Ladre, au nord de la ruelle du même nom, à Viarmes (95). Tout comme le lavoir des Panilliers à l'autre bout de la même ruelle, en amont, il est alimenté par la source rue du Douaire. L'eau usée du lavoir des Panilliers passait donc par le lavoir Saint-Ladre... Du fait de la proximité des deux lavoirs, leurs bassins sont de dimensions très modestes.

Le lavoir des Panilliers, ruelle Saint-Ladre à Viarmes (95). Tout comme le lavoir Saint-Ladre en aval, il est alimenté par la source rue du Douaire. L'eau usée du lavoir passe donc par le lavoir Saint-Ladre avant de s'évacuer. Les dimensions modestes du lavoir s'expliquent par la proximité avec le lavoir du Montcel et le lavoir Saint-Ladre.

Le lavoir du Présier, le plus grand des quatre lavoirs de Viarmes qui subsistent. Malgré une récente restauration, l'intérieur se trouve hélas fortement dégradé par des tags. Ce lavoir se situe ruelle dun Preslay, accessible depuis la rue du Gaudron, près de la limite avec la commune d'Asnières-sur-Oise.

Lavoir de la fontaine Aubert, à 1 300 m env. au nord du village, au bout du chemin rural n° 6 dans un bois près de la Forêt d'Halatte, mais qui de nos jours n'est plus accessible depuis cette forêt.